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Information sur l’acquisition de congés en arrêt maladie 

 

Suite à la question des élus CGT sur ce sujet la Direction a répondu en CSEC :

Oui les RH’s ont modifié le processus !

 

Attribution de 20 jours/an max suite à un arrêt maladie et 25 pour un arrêt de travail

 

Rétroactivité sur l’ensemble de la carrière de chaque salarié et une restitution de congés sera fait

 

Pour les salariés qui vont partir avec le PSE, prendre contact avec Bangkok (ouvrir un ticket EM Connect)

 

N’hésitez pas à en parler avec vos collègues qui serait dans ce cas !

Compte rendu de la commission de suivi du PSE du 20 mars 2025

 

Compte rendu de la commission de suivi du PSE

è L’inspection du travail n’était pas disponible pour assister à cette réunion.

La direction nous a partagé un document PDF en guise de présentation de l’avancée des différents points et un tableau Excel avec les futurs postes (qui va où et en remplacement de qui). La direction nous rappelle que les documents sont confidentiels car ils contiennent des données personnelles et confidentielles.

Pour la CGT : avant de commencer à regarder les tableaux de la direction, nous avons des questions auxquelles nous souhaitons des réponses claires :

  • Nous demandons que tous les travailleurs qui étaient volontaires pour partir dans le PSE (dans la formule S) et qui ont fait le choix de ne plus quitter l’entreprise puissent être reclassés dans le groupe.
  • Nous avons été alertés par des salariés qui doivent signer leur rupture de contrat, car il est noté dedans que l’entreprise devait leur proposer une liste des postes vacants. Or, cela n’a jamais été fait. La CGT demande quand et comment cela a été fait.
  • Comment cela se passe-t-il pour les salariés qui avaient levé la main pour partir dans la Formule S et qui aujourd’hui refusent de signer la rupture conventionnelle ?
  • Nous demandons que toutes les demandes de mise en CFC PSE soient acceptées afin de sauver un maximum de personnes. Nous voyons actuellement dans différents services que des travailleurs se sont vu refuser leur demande de CFC PSE. Il est scandaleux que la direction préfère mettre au chômage des salariés au lieu d’en mettre en préretraite.
  • Quid de la situation pour les salariés qui ne peuvent pas poser leurs congés (que la direction refuse pour raison de service) ?
  • Nous avons trois collègues qui travaillent actuellement chez Lubrizol. Ils revivent un nouveau plan social de plein fouet. La CGT demande qu’Exxon leur trouve une solution sociale.

Pour donner suite aux différentes questions, la direction nous répond :

  • Les salariés transférés à la Raff changeront de contrat de travail un mois après le transfert (d’unité ou de service).
  • Actuellement, il n’y a plus de place vacante en OETAM (voir une maximum)
  • Au sujet du volontariat, il y a eu une première période de volontariat et il y en aura une seconde. Mais pour la direction, celles et ceux qui se sont portés volontaires le restent aux yeux de la direction. Il y a effectivement de nouveaux salariés qui se sont ajoutés à la liste des « rétractés ».
  • Au sujet du site des postes vacants, il était à disposition des salariés sur Interfrance.
  • Un salarié qui refuse de signer le document de rupture conventionnelle sera toujours dans la position de salarié licenciable.
  • La priorité de réembauche, en cas de place vacante : il faut que le salarié ne soit plus en congé de reclassement. C’est à ces salariés de postuler car l’entreprise ne fait pas d’annonce, il faut consulter les annonces de recrutement externe d’Exxon. (En congé de reclassement, on est toujours considéré comme « rattaché » à l’entreprise et donc la priorité à l’embauche ne fonctionne pas dans ce cas.)

 

Passage en revue des documents et questions au fur et à mesure du débat :

 

565 départs volontaires ont été notifiés et sont actuellement en cours de formalisation.

376 redéploiements ont été proposés et acceptés à Gravenchon. À ce jour,

1 seul redéploiement est toujours à l’étude.

Quid des salariés qui ont levé la main pensant être licenciés et qui ne veulent plus partir car il y a des possibilités de reclassement ?

è La direction a effectué des arbitrages. C’est écrit dans l’accord PSE !

Quid aussi des salariés qui pouvaient partir en CFC de droit et qui ont décidé de partir avec le PSE mais à qui on demande de faire du rab car leurs postes seront supprimés à une date ultérieure à la date de CFC de droit ?

è  La direction ne va pas les payer à rien faire !

Ou des salariés à qui on a changé de catégorie professionnelle alors qu’ils auraient pu partir en CFC si on les avait laissés dans leur catégorie initiale ?

è La direction comprend notre sensibilité mais c’est comme ça !

è On va être vigilant sur leur état.

è Pour les salariés qui changeraient de contrat de travail : 1 mois après la date d’arrivée dans la nouvelle organisation.

è Les besoins d’une seconde vague de volontariat seront réévalués début avril à la clôture des opérations actuelles de redéploiement interne.

Combien y a-t-il de postes vacants sur la plateforme ? À ce jour :

è Peut-être 1 OETAM

è Quelques postes vacants chez les cadres (peut-être 5/6)

è Concernant les volontaires de solidarité qui voudraient se rétracter, il y avait des dates précises pour se porter volontaire et cela ne changera pas !

Comment allez-vous faire avec les salariés qui ne se sont pas vus proposer de postes vacants comme cela est écrit dans l’accord et qui vont refuser de signer leur départ ? C’est la direction qui a incité les salariés à lever la main en tenant un discours comme quoi il y aurait très peu de salariés sauvés !

è Si un salarié refuse de signer sa convention de rupture, il devient donc licenciable et donc sans les primes de volontariat !

è Vous refusez des départs en CFC et vous allez licencier des salariés qui veulent se rétracter et rester dans la boîte ?!

è Priorité de réembauche pour les salariés qui ont stoppé leur congé de reclassement car ils ont trouvé ailleurs mais qui ont des doutes sur leur avenir (Lubrizol par exemple). Ils ont entre 12 et 15 mois pour faire valoir ce droit.

Cas particuliers :

  • Nous avons posés que questions sur des problématiques specifiques et nous partagereons les réponses aux personnes concernées 
  • Un salarié en départ volontaire s’est vu stipuler par l’EIC que pour sa future formation, c’était à lui d’avancer les frais de formation ?

è La direction va modifier cela et c’est le cabinet qui va avancer les frais de formation à hauteur de 15 000 € et l’entreprise remboursera le cabinet.

Synthèse quelques chiffres :

  • Il y a 608 postes supprimés (582 sur les plateformes NDG et 26 au siège à Paris).
  • 59% des départs se font en mesure d’âge et particulièrement en CFC.
  • 69% des départs concernent des personnes sur postes supprimés.
  • Les quelques cas restants seront validés dès que possible courant mars.
  • 376 redéploiements ont été proposés et acceptés à Gravenchon.
  • À ce jour, 1 seul redéploiement est toujours à l’étude.
  • Plus de 99% des propositions de transferts ont été acceptées, ce qui a permis la validation d’un grand nombre de départs dès ce début d’année.
  • 75 salariés sont en congé de reclassement.

Rectangle : coins arrondis: Synthèse quelques chiffres :
•	Il y a 608 postes supprimés (582 sur les plateformes NDG et 26 au siège à Paris).
•	59% des départs se font en mesure d’âge et particulièrement en CFC.
•	69% des départs concernent des personnes sur postes supprimés.
•	Les quelques cas restants seront validés dès que possible courant mars.
•	376 redéploiements ont été proposés et acceptés à Gravenchon.
•	À ce jour, 1 seul redéploiement est toujours à l’étude.
•	Plus de 99% des propositions de transferts ont été acceptées, ce qui a permis la validation d’un grand nombre de départs dès ce début d’année.
•	75 salariés sont en congé de reclassement.

 

 

 

 

                     ---------      FLASH INFO CGT   ----------

 

Ce jour, la direction a convoqué ,à la dernière minute, le Comité Social et Economique Central (CSEC) pour recueillir l'avis des membres concernant l’évolution de la cotisation MIP.

Sur proposition de la MIP, la direction souhaite augmenter de 10% au 1er janvier 2025 (effet rétroactif) la cotisation pour tous les salariés , mais avant cela, elle doit prendre l'avis des Organisations Syndicales représentées aux CSEC

 

Pour la CGT : 

  • Nous sommes attachés à maintenir l'équilibre financier de la MIP pour sauvegarder le remboursement des frais de santé engagés par les salariés par une couverture la plus large possible.
  • Si la direction décide de relever de 10 % la complémentaire santé, nous demandons que cette augmentation soit entièrement prise en charge par l’employeur. Cela permettrait de ne pas alourdir la charge financière des salariés, qui sont déjà confrontés à des coûts de vie élevés.
  • À défaut, pour garantir au mieux le pouvoir d’achat des travailleurs tout en assurant la viabilité de notre complémentaire, nous proposons une augmentation de 5 % des cotisations uniquement. Nous proposons également de revoir cette situation au 1er juillet pour évaluer l’impact et ajuster si nécessaire.
  • Nous sommes toujours demandeur d'une étude de marché afin de voir où se positionne la MIP vis-à-vis des autres mutuelles. Cette analyse nous permettra de nous assurer que notre offre est adaptée aux besoins de tous salariés et au meilleur prix.
  • La CGT précise également que  les accords en vigueur concernant la Complémentaire Santé stipule que le relèvement des cotisations doit faire l’objet d’une négociation entre la direction et les Organisations Syndicales, et non d’un vote en instance du CSEC.
  •  

Le secrétaire du CSEC fait lecture de l'avis proposé aux membres du CSEC :

Suite au CSEC Extra du 20 Janvier 2024 concernant le point à l’ordre du jour :

Avis du CSEC sur la révision tarifaire de la MIP au 1ᵉʳ janvier 2025 suite au comité technique MIP

Pour mémoire les recommandations du Comité Technique MIP communiquée en séance plénière du 20 Janvier et indiquées dans le PV du 20 Janvier 2025 étaient les suivantes :

« En conclusion, le comité reconnait le besoin de rechercher l’équilibre du dispositif, le déséquilibre systématique du régime depuis 2016, exception faite de 2020 (compte positif). Les membres du comité comprennent et prennent acte de la demande d’indexation de 10 % exprimée par la MIP en 2025 pour revenir à l’équilibre. Cependant, les membres du CT demandent que la société prenne à sa charge cette augmentation à hauteur d’au moins 5 à 7 % selon les sensibilités des OS. »

La déclaration finale de notre Président suite aux différentes déclarations des OS :

« C. AMYOT – J’entends qu’il s’agit d’un avis sans consensus par OS. J’ai entendu ce qui a été exprimé par chacune d’elles. Je propose de nous appuyer sur les chiffres objectifs et le contexte inflationniste des frais de santé que nous avons précisés en séance. Nous ne changeons pas nos positions. Ainsi, nous confirmons l’augmentation de 10 % avec un ratio de 60/40. Nous nous inscrivons dans un cycle annuel de revue de ces éléments. En début d’année prochaine, nous aurons à nouveau un échange à ce sujet. »

Vote pour les 10% d’augmentations à la charge des travailleurs :

  • CFE-CGC est Pour = 5 votes
  • CGT et FO sont contre = 9 votes
  • CFDT s’abstient : 7 votes

 

Position de la Direction :

Malgré le vote négatif à la majorité de l’avis du CSEC, elle informe :

  • L’application d’une augmentation de 10% de la cotisation MIP de façon unilatérale
  • Refuser prendre en charge à 100% cette augmentation
  • Refuser l’étude de marché concernant les complémentatires santé.

 

Une nouvelle fois, la direction a décidé de ne pas écouter les Organisations Syndicales représentants la majorité des salariés.

 

NON aux départs forcés, du travail pour toutes et tous !

Ce lundi 24 février, une réunion de la commission de suivi du Plan de Sauvegarde de l'Emploi (PSE) s'est tenue. La réunion a débuté à 14h, mais nous n'avons reçu le package de documents et d'informations qu'une heure avant, ce qui a rendu la préparation de cette réunion particulièrement difficile. Une représentante de l’Inspection du Travail était présente en visioconférence.

Voici les points principaux à retenir :

  • Analyse des effectifs : Suite à la « photo » des effectifs réalisée en novembre 2024, la direction a déterminé qu'il y avait 608 salariés en trop dans le groupe (582 à NDG et 26 au siège).
  • Départs volontaires dans le cadre du PSE : Il est prévu 534 départs, répartis comme suit : 221 départs volontaires, 297 départs en retraite et 16 départs en retraite anticipée.
  • Départs hors PSE : En plus des départs prévus dans le cadre du PSE, il y a eu, depuis le mois de novembre, 6 démissions et des départs en retraite ou CFC programmés hors PSE.
  • Propositions de redéploiement : 350 propositions de redéploiement ont été faites, et 99% d'entre elles ont été acceptées.
  • Rétractations ignorées : 10 salariés se sont rétractés après avoir initialement demandé un départ volontaire. Cependant, l'entreprise ne compte pas leur donner une chance de rester.
  • Pré-volontariats : Il y a eu 39 salariés partis dans le cadre du pré-volontariat (30 en CDI, 6 en contrat d’intérim et 3 en création d’entreprise).
  • Cas particuliers : Actuellement, il reste 4 salariés pour lesquels la situation est bloquée. Les RH estiment que pour 3 d'entre eux, la situation devrait se résoudre grâce à des reclassements internes. Cependant, pour une salariée ayant un métier spécifique, cela s'annonce plus compliqué.

La CGT dénonce :

  • Le manque de moyens de la direction et la gestion dans l'urgence.
  • Le refus de l'entreprise de permettre à certains salariés de rester malgré leur rétractation.
  • L'injustice faite aux travailleurs qui se voient refuser un départ en CFC alors que d'autres risquent de se retrouver au chômage.
  • Les problèmes de mutuelle rencontrés par certains salariés en pré-volontariat (contrat MIP mis d’office, contrat plus cher, etc.). La direction nous répond que tout est rentré dans l’ordre et que les trop-payés ont été remboursés.

Nous exigeons :

  • Une réévaluation des cas de rétractation pour permettre aux salariés concernés de rester dans l'entreprise.
  • Une prise favorable en compte de toutes les demandes de départ en CFC.
  • Des solutions justes, transparentes et équitables pour tous les salariés concernés par le PSE.

Restons mobilisés pour défendre nos droits et notre avenir !

 

è ->  Prochaine réunion : Le 20 mars à 14h00.

4éme tour de négociation

 Revendications CGT : 

AG : 4,6%

Plancher de 100€

Prime, montant à définir

La CGT réclame que le budget des AI soit rebasculé sur les AG.

Nouvelle interruption de séance de la direction.

Retour :

AG : 2%

AI<290 BC 0.8%,  MC 1.2%

AI>290 BC 0.8%,  TBC  1% MC 1.2%

Plancher 60€

En cas de non signature c'est l'ancienne proposition qui sera appliquée 

AG : 1.5 % 

AI K<290    BC 0.8%,  MC 1.2%

AI  K>290   BC 0.8%,  TBC 1%,  MC  1.2%

Plancher 40€


A vous de vous exprimer, nous sommes loin des résultats de notre sondage. 

3éme tour de la négociation

Revendications CGT :

_ AI : 4.8%.

_ Plancher de 110€.

_ Augmentation de la contribution MIP à 75% employeur.

_ Prime de 3500€ (ouverte aussi aux CFC).

_ Pas de PI cette année.

Toutes les OS veulent que l'AG soit largement favorisée. Nouvelle interruption de séance de la direction 

Retour direction :

Ancienneté c'est non, MIP c'est NON, GLS c'est non pour le moment 

AG : 1,7%

AI + AG<290 BC 2,5%. MC 2,9%

AI + AG>290 BC 2.5%. TBC 2.7% MC 2.9%.

Plancher 50€ 

2éme tour de la négociation

 La direction ouvre la négociation assez rapidement après avoir passé 1h à répondre en partie aux questions des OS sur le PSE.

AG :1,3% pour tous 

K<290   AI : MC 1%, BC 0.6%.

K>290   AI : MC 1%, TBC 0.8%, BC 0.6%.

PAS DE PRIME CETTE ANNÉE !!! 

Enveloppe globale 2,6% hors promotions 

La CGT a également revendiqué une nouvelle fois le gel des licenciements à minima après le 2éme volontariat. 

La direction suspends la séance suite aux revendications de chaque OS, reprise à 14h...

Reprise : 

Non à la meilleure prise enncharge de la Mip, non à la prime de transport, non à la prime de quarts sur le K340, non à la promotion automatique.

Il y aura des PI cette année comme une année normale.

Nouvelle proposition : 

ENVELOPPE 3%

AG : 1.5% 

AI K<290   BC 0.8% MC 1,2%

AI K>290   BC 0.8% TBC 1% MC 1.2% 

Plancher de 40€ 

Merci d'arrêter les commentaires haineux, ils seront modérés de toute façon.

Les OS ont demandé une interruption de séance pour ajuster leurs revendications. Les discussions continuent 

Revendications CGT salariale 2025





 

En direct de la NAO

 Ça commence fort !

Les OS avaient des questions sur le PSE et les erreurs de simulations, la direction a une attitude dédaigneuse et considère qu'elle ne s'est pas trompé ou alors très à la marge. 

La CGT demande à la direction de communiquer au travers du webinaire de demain à ce sujet pour rassurer les travailleurs concernés, la direction accepte.

14h20 : on est toujours sur les questions PSE. La direction affirme qu'elle fera au mieux avec les moyens qu'elle a, ce n'est pas très rassurant. Chaque cas sera traité individuellement ce qui peut occasionner des différences de traitement. A suivre...

15h : les OS ont établi leurs revendications, la direction est partie en interruption de séance. 

16h : la direction propose les sujets suivants :

_ égalité professionnelle

_ mobilité durable

_ gestion des emplois et des carrières 

_ accords d'astreindre (localement) 

_ prime d'apprentissage 

_ discussion sur le PEG (les placements) 

_ impact de la vente de Fos sur mer sur les accords 

Les sujets de filières, back up et accord de compétence seront revu à partir de 2026.

_ participation intéressement pour 3 ans afin de redonner de la visibilité.

Fos est sortie du tableau PIA depuis le 1er novembre, en ce qui concerne les unités de la chimie depuis le 1er septembre ce qui est à l'arrêt scorera, ce qui doit tourner mais est arrêt du fait de la grève ne score pas. 

Les sujets concernant la retraite, de près ou de loin ne seront pas retenus, la direction menace de baisser le niveau de ces accords si ils sont réouverts.

Pour le moratoire c'est non ! Pour la CGT c'est un très mauvais signal pour l'avenir des sites ExxonMobil en France.


Négociation annuelle obligatoire

 Cet après midi se tient la NAO ou la CGT va revendiquer les points suivants :

_ Mise en place immédiate d'un moratoire sur les licenciements.

_ Suppression de l'imputation du C2P et mise en place de 18 mois d'anticipation pour le personnel jour, négociation de l'anticipation pour les 2x8D.

_ Reconnaissance de l'ancienneté pour les ex Targor/Basell/Hoestsh/Stig...

_ Renégociation de la prime de transport.

_ Revue de l'accord de prime de reconnaissance et backup.

Début de la réunion à 13h30

Sondage négociation salariale

 Un tract avec un lien viens de vous être envoyé dans vos boîtes mail pro et perso pour les CFC qui nous ont communiqué leur adresse.

Vous pouvez flasher le QR code sur ce tract pour répondre à un sondage concernant vos attentes pour la salariale. 

Merci d'y répondre jusqu'à vendredi matin au plus tard pour nous permettre de poser des revendications au plus près de vos attentes.

PSE : la CGT ne signe pas

Effectivement l’accord PSE va être validé par la signature de deux OS. Pour la CGT, le PSE proposé n’a que très peu évolué par rapport à la version du 6 juillet dernier ou l’ensemble des OS ont refusé de signer. L’évolution à la marge ne justifie en rien une signature de l’accord qui entérine désormais plus de 300 licenciements sec à venir dès avril prochain. La position de la CGT est très clair : nous ne serons jamais dans  l'accompagnement d'un tel désastre social qui mettra des familles entières en grande difficulté ainsi que nombreuses familles de sous-traitant. La CGT s’est  toujours battu pour le maintien de l’activité industriel du site pétrochimique d’ExxonMobil de notre dame de Gravenchon, malheureusement, face au rouleau compressseur de la corporation ExxonMobil, à l’inactivité et la non volonté du gouvernement de maintenir son industrie française, nous allons subir le dictat du plus grand groupe pétrolier riche à milliards. Pour seul exemple, la mise en œuvre du PSE coûtera 400M€ à l’affilié français alors que les investissements nécessaires pour sauver l’emploi de plus de 3000 salariés dans le bassin d’emploi normand et au-delà, se mesure à 250M€. Notre employeur préfère mettre plus d’argent sur la table pour licencier le personnel que d’investir dans l’outil de travail ou à minima chercher un repreneur pour pérenniser l’activité

Pour cette raison et contre les licenciements, la CGT ne sera pas signataire

Rencontre administration

Les 4 OS avait rendez vous ce matin avec l'administration en charge de la validation des documents unilatéraux.

Cette administration a une obligation 

d'impartialité donc les échanges sont restés très techniques, la Drieets a acté les avancées (modestes) de la direction ExxonMobil, et a rappelé aux OS sont domaine de compétences. 

Les OS et leur avocat ont rappelé le rôle de l'administration qui est de s'assurer que tout est fait pour limiter le nombre de licenciements et la dessus ExxonMobil est très loin d'être exemplaire, nous avons également rappelé les problèmes de familles d'emplois (discrimination) ainsi que la répartition ridiculement déséquilibrée des indemnités de licenciements (certains cadres dirigeants pourraient toucher pas loin du million d'euros).

La baisse de l'enveloppe globale (-13 millions peut être pas perdus pour tout le monde) à été évoquée et fera l'objet d'un examen particulier.

La Drieets nous a informé qu'à cette heure elle n'a pas été sollicité pour une homologation par ExxonMobil, vu l'ampleur du dossier elle prendra le temps nécessaire dans les délais légaux pour examiner cette demande quand elle arrivera et sera complète.

Ce qu'il faut retenir c'est que la Drieets n'est "du côté" de personne et appliquera rigoureusement le droit. Nous l'avons d'ores et déjà informé que si le dénouement de cette situation était une homologation, alors nous la contesterons au tribunal avec de sérieux arguments juridiques.

Si la direction Exxonmobil veut s'épargner ça elle a les numéros de téléphone des coordinateurs syndicaux. 

Les travailleurs LPP/PE/ESCOREZ et BCI sont en grève depuis 122 jours aujourd'hui !!!

Dans le même temps nous avons commencé a diffuser notre projet alternatif à la fermeture. Il est encore possible d'éviter cette casse industrielle catastrophique !

Assemblée générale à la Porte A

 La CGT appelle les travailleurs à se rassembler en assemblée générale à 13h30 sur le parking de la Porte A aujourd'hui mardi 17 septembre.

Merci de rester un minimum courtois et poli dans les commentaires, et pas besoin d'envoyer 10 fois le même non plus 

CSEC du 16 septembre

 Encore une longue journée de réunion ou on confronte les suppressions d'emplois à la tâche de travail restante, le compte n'y est pas du tout, les survivants du PSE vont cracher du sang au travail ! 

Nous avons reçu 20 documents pendant le week-end, plusieurs centaines de pages de réponse de la direction à la demande de la Drieets, sans surprise ExxonMobil conteste tout et affirme etre dans son droit. Ça a du coûter cher en cabinets de conseils et en avocats ! 

Le secrétaire du CSEC a aussi été pris à partie par courrier par le DRH France et donc tous les élus et toutes les OS soutiennent le secrétaire devant cette tentative de déstabilisation.

La négociation commencera normalement à 15h, nous sommes contactés par de nombreux médias nationaux, esperont que cette mise en lumière puisse mettre la pression sur ExxonMobil et que nous puissions sauver les emplois et l'outil industriel.

La direction rejette toutes les demandes du CSEC concernant l'emploi, la délégation patronale veut vite évacuer les sujets et renvoi les questions en CSE, quand on sait comment c'est traité par la direction locale...

La "négo" commence :

La direction prétend souhaiter un accord plutôt qu'une homologation. 

La direction demande aux OS leurs revendications

 La CFDT réclame la reventilation du budget suite aux démissions et quelques postes sauvés (13 millions) 6 ans max de cfc pour le personnel jour, et le congés de reclassement à 24 mois à 75%.

FO veut connaître le mandat avant de négocier la répartition 

Cfe cgc : mesures d'âges accrues et répartition du budget complet.

Cgt : plancher de 36 mois, convention de salaire dégressif et OVE avec 80% du salaire. Cfc de 12/7/6 ans 3x8/2x8/jour 

La direction se retire pour réfléchir.

Retour : 

CFC : NON 

Mise en place d'un plancher de 50k€ composé des primes volontariat, indemnités conventionnelles, indemnités supplémentaires (paiement de l'anticipation et ABO) + 5,25 mois de congés de reclassement. Si ce total est inférieur à 50k€ alors c'est le plancher qui s'applique.

Ce plancher concernerait environ 100 personnes.

La direction va garder le reliquat de l'enveloppe du projet et ne pas le remettre dans le PSE.

Les OS ont jusqu'à vendredi pour se positionner...

Fin 

Tract CGT


 

Accord PSE

 La direction a contacté les OS, elle fera une nouvelle proposition sur les mesures du PSE lundi 16 septembre à l'issue du CSEC.